Le vin a été un plaisir tardif pour moi car mes parents ne boivent pas beaucoup d’alcool en général et de vin, en particulier.
Cela signifie que mon histoire personnel dans l’apprentissage du vin s’est fait à l’âge adulte au fil de rencontre avec des amateurs de vin ou d’une région.
A ce titre, la Bourgogne reste mon terroir de prédilection pour le vin et plus particulièrement pour le vin blanc. Le tête m’a vraiment tourné pour la première après un seul verre de Puligny-Montrachet sur la place Carnot à Beaune. Mais ma relation avec les vins de Bourgogne remonte avant que je ne visite cette belle région. Un collègue de travail, amateur de vin, appréciait particulièrement le Bourgogne, même s’il nous a fait goûter du vin jaune, du vin de paille des régions de l’Est.
Par ailleurs, lors de mon premier stage musique à Beaune, nous avons eu la chance de faire une dégustation dans les impressionnantes caves du lycée viticole. A cette occasion, j’ai appris à apprécier le vin, en premier lieu au nez. Depuis, je dois avouer préférer sentir longuement le vin avant de le goûter.
Ainsi, si mon cœur revient naturellement vers la Bourgogne pour le vin blanc (Puligny-Montrachet, Meursault…), j’aime également les vins rouges de Bordeaux (Graves…) ou des vins d’autres horizons, dont l’Italie (Montepulciano), la Hongrie (Tokay) ou l’Argentine (Malbec).
Le 15 de chaque mois, à midi pile, des Rédac’Blogueurs écrivent de concert sur le même sujet.
Ce mois ci le thème est « le Vin ».
Ce mois-ci, Leviacarmina, Agnès, Hibiscus et Denis ont planché sur le sujet.
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